Grand Pic de la Lauzière…le retour

Publié le 29 mai 2013 par Bertrand C.

Dimanche 26/05 : du col de Gebroulaz au Grand Pic de la Lauzière…le retour !
C’est à la permanence du vendredi que Jacques propose une sortie ce dimanche (le temps est annoncé moins pire) au-dessus de Val Thorens
Un groupe de 8 gumistes s’inscrit rapidement, peut-être sera-t-on 9.
RDV est donné aux Marquisats à 6h00. C’est à 4 (Guillaume, Serge, Fred, Virginie) que nous retrouvons Jacques embarrassé par un lumbago. Entre temps, les températures glaciales annoncées sur Val Tho et au-dessus ont fait repenser la course à notre chef. Ce sera le Grand Pic de la Lauzière : Cela tombe bien car aucun d’entre nous hormis Jacques ne la connait.
Nous partons direction Albertville pour retrouver une vieille connaissance de Jacques (+ de 50 ans). Notre groupe sera formé de 3 personnes supplémentaires.
Arrivée à Celliers, où nous laissons les véhicules, c’est parti pour 1200m de dénivelé.
Après avoir porté 10 minutes, nous chaussons les skis et entamons notre montée sous un soleil chaud. Nous ne sommes pas les seuls dans cette neige vierge, un autre groupe ayant eu la même idée. Nous finissons notre montée avec un soleil qui se sera voilé (plus ou moins difficilement pour certaine).
La descente s’effectue aussitôt. Une poudre digne d’un mois de février pour une grosse moitié (50-60cm en haut) nous régale les spatules. Dans la seconde moitié, on retrouve une neige poudreuse lourde. En toute dernière portion, une partie de ski combat nous permet de nous retrouver aux voitures. Il est 12h30 !
La pause repas s’effectue un peu plus bas sur une table de pique nique. Le soleil s’est recaché. Il ne fait pas chaud.
Pour terminer la journée et nous réchauffer, nous nous retrouvons à Pussy pour la pause boisson.
PS : Jacques l’a confirmé, les conditions de neige étaient meilleures que la semaine précédente et il n’y a pas eu besoin d’avoir la photo de Laurent Romejko pour voir le soleil !

Fred&Virginie

Catégorie: Ski de randonnée

Laissez un commentaire

Si tu tombes, c'est la chute. Si tu chutes, c'est la tombe