Pointe du midi, couloir du Cu Déri et combe sauvage – 18/02/2017
Participants : Amélie, Antoine, Claire, Julian, Ophélia, Serge, Xavier
DISSERTATION
Sujet : « De l’art de se récupérer le compte-rendu »
Consigne : Rédiger un développement construit sous forme de plan détaillé composé de trois parties. Vous adopterez un plan chronologico-thématique et veillerez à alimenter votre raisonnement d’anecdotes diverses.
Temps imparti : 4h.
Introduction : dans ce court mais dense raisonnement, on s’attachera à illustrer l’expression « des fois y’a des jours où … ».
I. Un réveil constaté (et) matinal
1. « Malgré » quelques dizaines de minutes de retard liées à une série d’obstacles de type italiano-suisse-colérique et tracteur-haut-savoyard-lent sur la route de la clusaz déjà bien remplie de vacanciers …
2. … la rando commence plutôt tranquillement sur la route du col de la Colombière (parking aux Bouts, quelques virages après la sortie de Chinaillon) …
3. … et ce jusqu’aux chalets de la Colombière, où le soleil nous fait quitter la doudoune et mettre les shorts (si j’en avais eu un).
II. Une montée à couteau fuyant
1. Le rythme du groupe s’accélère progressivement en gravissant la combe de la Balafrasse, nous permettant de passer le col sous le sommet de la Pointe du Midi dans de bonnes conditions et de redescendre côté est le couloir Cu Déri …
2. … « malgré » la fuite d’un couteau aventurier dans la pente (merci Julian) à la montée, ustensile nécessaire pour atteindre et gravir le couloir qui mène au fameux col …
3. … et « malgré » quelques figures de croisement de ski (notamment en position arrêtée [sic]) dans la descente du couloir (35°/40° sur 150m selon le topo) menant à la Combe Sauvage, mais aussi de très bons virages dans un style de type moquette.
III. Repotages
1. Un premier repotage permet à la troupe de remonter NE sur l’arête et d’atteindre la Combe de Montarquis (ou Grande Cave) avant de redescendre plein sud sur une neige relativement douce, puis de plus en plus dure …
2. … descente qui offre au début quelques bons virages, « malgré » un bâton semé en route, …
3. … et « malgré » quelques glissades sur les pentes boueuses et périlleuses de petites vaches d’alpage chargées de ski sur le dos.
Conclusion : une fois toutes ces étapes franchies, repoter une deuxième fois et remonter la route jusqu’au col de la Colombière, picniquer en tee-shirt face au soleil et se laisser glisser de l’autre côté le long de la route jusqu’à la voiture. Et récolter le CR.
Ophélia
Catégorie: Ski de randonnée
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