La Chie qui pente
Après avoir récupéré Nathalie à Lescheraines, Marc, Catherine, Caroline, JB, Patricia, Astrid et Jacques partent à la conquête de Margériaz (1845m) par le Golet de l’Agneau.
Le départ se fait depuis le col de Plainpalais. Un peu de botanique en ce début de randonnée, comment reconnaître la vraie gentiane de la fausse, les moyens mémo techniques pour faire la différence entre le sapin et l’épicéa.
Le sentier devient boueux et collant, puis s’enfile dans la forêt pour finir en un pierrier sous la falaise de Margériaz. La pente est soutenue et au bout d’à peine deux heures, nous sommes au pied du Golet.
Deux chamois que nous avons sans doute dérangé courent au dessus de nous à toute vitesse! Nous ne serons que deux à les avoir vu.
Nous traversons la falaise par le Golet équipé de câbles et d’un escalier pour déboucher sur le plateau.
Chouette pique nique avec une vue à 180°, des Aravis au Aiguilles d’Arves en passant le le Pic de la Lauzière. Le Mont Blanc est sorti couvert!
Le gâteau de Nathalie sera accompagné d’histoires salasses, de quoi faire de l’ombre à Claude 😉
Mais alors me direz-vous, pourquoi l’article s’appelle « La Chie qui pente »… Et bien lorsque Caroline propose des bonbons, Astrid se souvient d’un certain bonbon mais sa langue à fourché … Vous comprenez mieux ?
Cela nous a valu un bon fou-rire !
Pour le retour, nous ferons deux groupes, ceux qui souhaitent descendre par le chemin de montée raide et boueux et ceux qui préfèrent faire la grande boucle pour le GR5 et préserver leur genoux et leur vêtement!
Le petit tour au bar clôture cette sortie, merci à Marc et à tous les participants
Des chamois, des pies qui chantent, un lama croisé en chemin… Les effets du pavot dans le fameux gâteau de Nathalie 🙂